Jamais le premier soir : Au petit bonheur...

Et si le bonheur se cachait dans les manuels d’épanouissement personnel ? Quand une librairie permet de sortir de la déprime, c’est une véritable bouffée de joie et d’espoir.

« Jamais le premier soir », réalisé par Mélissa Drigeard, est une comédie bon enfant sur la quête du bonheur. Porté par un trio d’actrices talentueuses, le film raconte les histoires d’une bande de copines aux vies amoureuses tumultueuses.

Synopsis :

Fatiguée d’être une éternelle malheureuse, Julie décide de reprendre sa vie en main. Sa nouvelle lubie ? Les pensées positives. Les rayons « développement personnels » n’ont plus de secret pour elle. Mais le bonheur peut-il s’apprendre ?

C’est toute la question que se pose Alexandra Lamy. Passant de la joie aux larmes à l’humour potache, la comédienne est touchante. Autour d’elle, Mélanie Doutey et Julie Ferrier, en bonnes copines, apportent un certain réalisme et une pointe de fantaisie comique. Le film parle à tous et à toutes. Qui n’a jamais soutenu une amie après une rupture ? Personne. L’identification est donc immédiate et le rire aussi.

Face à ce trio féminin de choc, les garçons arrivent à tenir la route : Marc (Jean-Paul Rouve) en libraire passionné, Ange (Grégory Fitoussi) en écolo bobo ou encore Charles (Arnaud Henriet) en romantique transi, les males n’ont rien à envier à leurs partenaires.

Véritable « Bridget Jones » à la française, « Jamais le premier soir » est une comédie romantique, drôle et originale, malgré quelques clichés romanesques.

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